pas de rumeurs
ma mer n'a jamais mouillé
ton absence
on trouve partout
des emballages de mots
des emballages perdus
comme ta mémoire
j'adorais compter les vagues
oui
je l'adorais
et compter les pores
qui manquaient
pour atteindre ton bonheur
en ce temps-là
encore on existait
ça fait si longtemps
que peut-être
ça n'est pas arrivé encore
© Frantz Ferentz, 2011
Sem comentários:
Enviar um comentário